Radicalisation entre musulman et islamiste ,  islamisme  et laïcité

Extraits - Lettre ouverte à M. Emmanuel MACRON                
La radicalisation, est-ce un mal incurable, en France ?        


Monsieur le Président de la République,

Encore une fois en France, la radicalisation a tué, massacré et endeuillé des familles !
Tous les responsables et médias ont tort d'en vouloir au seul Ministre de l'intérieur, comme si sa démission ou remplacement allaient clore ce fâcheux dossier.
...., excusez cet avis franc et direct : tout le Gouvernement est responsable. Tous les médias sont responsables. Tous les intellectuels qui ont réduit la France et les Français au silence, de peur d'être taxés de racistes et d'islamophobes, sont responsables.

Monsieur le Président de la République, jusqu’où le laxisme du gouvernement va-t-il plonger la France dans le désarroi et l'incompréhension, pour ne pas sévir et éradiquer ce fléau à la source ?

Où, quand et comment commence la radicalisation ?
Comment combattre efficacement la radicalisation ?


Soyons clairs, il faut être habitué à fréquenter le quotidien du musulman "moyen" et bien nourri de la pensée islamique des quartiers populaires, pour une meilleure approche de la radicalisation qui envahit la France et tout l'Occident.

1)    La radicalisation commence lorsqu'on est "sous influence".

On ne peut parler de radicalisation sans s'arrêter aux premières étapes préparant cette radicalisation. Il faut savoir analyser le processus évolutif d'un individu qui change de comportement et d'aspect vestimentaire jusqu'à renier ses acquis culturels hérités de ses parents : il est "sous influence" !

On voit l'intéressé soutenir des idéologies et pratiques venues d'ailleurs et qu'il finit par adopter à petites doses progressives. En effet, avec une formation bien engagée, nourrie et ciblée notamment dans les mosquées de quartiers, il finira par se sentir assimilé aux vertus d'un Islam sain, pur et porteur de belles valeurs qui répondent à ses besoins ou à ses frustrations.

Le processus s'affiche par la suite par un accoutrement vestimentaire, autant chez l'homme que chez la femme.
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Nous savons où la radicalisation peut aboutir.
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On peut envisager le phénomène en étudiant séparément la progression vers la radicalisation chez la femme et chez l'homme

a - Une femme est "sous influence" (donc prête ou apte à être radicalisée) dès qu'elle accepte de se "foularder" !

"Être foulardée" ne peut qu'avoir un sens péjoratif, c’est-à-dire avoir la tête emmitouflée et emprisonnée dans un foulard dit islamique, ce qui n'a rien à voir avec "porter (joliment) un foulard".

Vous ne pourrez jamais radicaliser une jeune fille ou une femme qui refuse de quitter son jean, son beau chemisier et son décolleté. Il est plus facile d'influencer une femme foulardée pour la passer au hijab et du hijab au niqab.
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Par conséquent, si on arrive à temps pour "intercepter" une femme "normale" (à visage découvert) dès qu'on la voit changer d'attitude ou emprisonner ses cheveux dans ce foulardisme dit islamique, on pourra l'empêcher de s'engouffrer dans les ténèbres des draperies sombres (à la saoudienne), annonçant sa vraie radicalisation.
Psychologiquement, une femme en niqab passera plus facilement aux actes extrêmes du djihadisme qu'une femme habillée en jean et tee-shirt ou normalement en tenue de ville.
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Il faudrait intervenir et sauver une jeune fille (ou une femme) dès qu'on ressent qu'elle est sous influence et bien "cuisinée" pour intégrer ce monde du foulardisme.

Déjà, il faut absolument interdire et punir sévèrement, en France, les parents qui emprisonnent dans les horreurs de ces draperies leurs gamines à un âge révoltant de 4, 6 et 12 ans. J'en parle en connaissance de cause, puisqu'il m'est arrivé, plusieurs fois, de voir et d'intercepter des parents en compagnie de telles petites victimes et de les fustiger en leur rappelant que la protection de l'enfance m'oblige à réagir pour porter assistance à personne en danger et que nous sommes en France et non en Arabie !

Pour des filles moins mineures, il ne faut pas attendre qu'elles reviennent de Syrie pour chercher remède à leur radicalisation : il serait, sans doute, trop tard !
Non seulement le mal est fait mais, en plus, il faut attirer l'attention sur un phénomène inconnu des Occidentaux, ignoré des non musulmans et dont les médias occidentaux ne parlent jamais : le djihad pour une femme, chez Daech (en Syrie ou en Irak), ne consiste pas seulement à prendre les armes mais aussi et surtout à servir le repos du guerrier djihadiste : on appelle cela "Djihad annikèh" (Djihad de la fornication).
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b - Un homme (jeune ou adulte) est "sous influence", surtout en Occident, dès qu'on le voit, lui aussi, changer d'attitude, ne plus serrer la main d'une femme, ne plus la regarder en face, fréquenter régulièrement une mosquée et y faire ses prières, arborer une barbe dite islamique et porter des vêtements du style afghan, avec sa "horka" (genre de robe) longue et des baskets d'une marque qui n'existait pas du temps du prophète Mohamed sans oublier son téléphone portable high-tech. Cette apparence parait contradictoire et inadéquate, surtout, par rapport à l'époque à laquelle il veut s'identifier (15 siècles passés) et dans un pays occidental de traditions autres que celles de la péninsule arabique.

Un musulman normal, tolérant, discret, croyant en sa foi entre lui et Dieu ne poussera jamais sa différence à un tel aspect extérieur.

Comme pour les femmes, ces hommes "sous influence" en voie de radicalisation, croient adopter ces accoutrements vestimentaires pour mieux se sentir en fusion avec cette communauté identitaire.
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Bien entendu, là aussi, il ne faut pas attendre le retour d'un homme de Syrie, pour essayer d'empêcher sa radicalisation : il est trop tard et sûrement ses mains sont déjà tâchées de sang !

2)    Combattre la radicalisation

Pour éviter la radicalisation en France et en Occident (en plus de sa classification en "fichés S"), il faut pister jusqu'à chez eux ces jeunes hommes et femmes ayant changé subitement, de comportement, de fréquentations et de leur façon de s'habiller. Ils peuvent être en état de faiblesse psychologique, en manque de besoins financiers ou en perdition de repères : ils sont aptes à être "sous influence" !

Il faut responsabiliser les parents, les proches et les voisins pour ne plus négliger et ne plus prendre à la légère ces changements d'attitude. Il faut venir signaler toute "métamorphose" anormale observée chez un jeune ou adulte : il en va de la sécurité de toutes et tous, pour que cela n'aille pas plus loin !

En France, on a pris l'habitude de pointer du doigt toute personne qui ose s'exprimer librement jusqu'à le taxer de raciste et d'islamophobe rien que parce qu'il ose dire des vérités qui dérangent ou qui ose se révolter devant la laideur qui envahit la rue, jour après jours. Le pauvre Français n'ose plus réagir de peur d'être poursuivi devant les tribunaux : faut-il être originaire d'un pays arabe ou musulman pour s'autoriser à dire des vérités qui fâchent, sur cet islam envahisseur, pour ne pas être traité et poursuivi pour racisme ou islamophobie ?

Si vous voulez combattre la radicalisation, le Ministre de l'Intérieur ne peut rien faire, à lui seul : il faut redonner à chaque citoyen la liberté légitime de parole et de réaction devant l'anormal, l'irrationnel, et lui redonner confiance pour ne plus se taire et de ne plus négliger les affres de cet envahissement islamique en pleine rue.
Les Gouvernements occidentaux ne doivent plus tolérer cette islamisation progressive du pays. Ils doivent combattre, sans concession et sans détour, les revendications absurdes de ces nouvelles vagues d'extrémistes musulmans, au nom d'Allah.

Tolérance zéro à ces envahisseurs venus d'ailleurs qui n'apportent rien de constructif ou de bénéfique à l'Occident qui ne cesse, jusque là, de dire "Amen" à tout ce qu'ils revendiquent.
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Monsieur le Président de la République, l'Occident a-t-il le courage d'une solution juste, légitime, efficace mais radicale ?
La solution :
1) Fermer et d'interdire toutes les mosquées suspectes, celles de quartier et celles installées dans les caves, rez-de-chaussée ou sous-sols des immeubles !
 2) Punir sévèrement l'ouverture de toute mosquée similaire.
3) Interdire, fermer et punir l'ouverture de toute école coranique, quelle qu'elle soit.

Il faut que les Occidentaux sachent qu'un musulman n'a pas besoin de mosquée pour prier ! En effet, Dieu Clément et miséricordieux est partout, omniprésent et la prière d'un musulman est valable même de chez lui ou d'ailleurs.
Or pour les radicalisés, la mosquée est le lieu de communion, de rencontre, d'endoctrinement, de mise en confiance et de rassemblement.
L'école coranique est le berceau de l'endoctrinement et du bourrage de crane des petites têtes innocentes de nos enfants.

En outre, les "intellos" ne doivent plus confondre la France multiculturelle avec une France multi-bêtises humaines où la bêtise de la folie obscure peut aller jusqu'à tuer et massacrer. A l'égard de ces gens aveuglés, la liberté d'expression s'arrête là où commencent la bêtise humaine, l'inculture, l'ignorance, la haine et la méchanceté gratuite qui les habite !
...
Sami AZIZ


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